Nous n’avons pas pratiqué le cododo pour la simple raison que mon fils et nous-mêmes n’en éprouvions pas le besoin.
Néanmoins, il a dormi à moins d’un mètre de nous pendant un an. Il dormait bien et nous aussi. On avait trouvé notre équilibre, nous étions rassurés ainsi, bercés par la respiration des uns et des autres.
On l’a fait malgré les remarques, que nous n’entendions pas car elles n’entraient en résonnance avec aucun principe chez nous. Elles n’appuyaient sur aucun ressort mental, aucune crainte, pour la simple raison que nous nous sommes empêchés de penser, nous avons juste agi instinctivement.